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marine le pen - Page 4

  • Pourquoi en France, on ne pratique pas la vengeance privée et on ne tue pas celui qui vient dérober son bien, et pourquoi est-ce une avancée de la civilisation sur la barbarie.

    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2012/08/01/bons-baisers-de-france-mister-friedman.html


    Jeanne-d-Arc-jeanne-envoie-aux-anglais-un-message-leur-enjoignant-de-sortir-de-france.jpg


















    Alors que le site Contrepoints-de-vue du Département d’Etat américain fête l’anniversaire de la naissance du Chicago boy en chef, Milton Friedman, leur papier sur l’analyse de l’économiste, et donc idéologue, sur la question de l’euro est particulièrement éclairante de manière générale, et en particulier, eu égard aux positions du Front national en la matière.


    Le FN a vite fait de laisser tomber l’esprit d’un de ses principes qui garantissait au peuple la maîtrise de son destin, à savoir : Une Monnaie = Une Nation, au profit de la vision de ses « experts » si gracieusement fournis par de dits souverainistes.

    Ainsi Marine et JMLP ne font que s'inscrire dans une querelle économique de libéraux et donc se fondent parfaitement dans la normalité mondialiste entant que paradigme anglo américain.

    Malheureusement l'esprit français non suffisamment maîtrisé par ces deux chefs de file, fait que le logiciel étranger s'y insère si aisément.

    Le seul espoir est l'évidente incohérence que cela engendre, et le fait que la force de l'esprit français puisse les dépasser totalement.

    Je rappelle que notre filiation s'inscrit, du fait de notre histoire, dans le droit romain.

    Le droit romain a eu cette supériorité par rapport aux pays du nord, de s'inscrire dans le marbre. Les pays de tradition orale ont par essence moins d'assise.

    Notre histoire plus longue et plus arrimée à la réflexion permise par la transmission écrite de la langue et des sciences.

    Le miracle français est d’avoir parachevé notre héritage gréco romain en le pérennisant et l’améliorant par l’histoire qui ne garde dans sa sagesse que le meilleur et élimine le moins bon, c’est l’unité française qui en fut le vecteur et le catalyseur.

    Le droit anglo saxon est ainsi construit de façon très différente voire opposé au nôtre.

    Quand notre histoire du droit s’appuie sur une amélioration constante ayant pour base les solides apports antiques, apogée si bien senti par Renan dans sa Prière sur l’Acropole, le droit anglo saxon de tradition orale, ne prend assise que sur le Bill of rights (le XVII ème siècle ! Qui fut le départ du libéralisme chez les anglo saxons dont l’emprise gangrènera hélas la France, Jeanne d’Arc fut assassinée essentiellement à ce moment de l’histoire.

    Le Français recherche l’esprit des lois en le respectant en l’adaptant et l’améliorant par empirisme organisateur, l’Anglais recherche la lettre dans son passé moderne (oxymore volontaire) et forcément biaisé dans son adéquation avec le juste en particulier, le bien le beau le vrai en général.

    Jeanne avait combattu l’ennemi, non pas qu’il nous aurait tous anéantis physiquement, mais bien parce que nous aurions subi le joug de la domination de l'Anglais via la mentalité anglo saxonne. 

    La France meurt de perdre son esprit et de rien d’autre, et la liberté s'éteint par ce même biais et au nom de la liberté (R) des nominalistes anglo saxons.

    C’est ainsi qu’un JMLP assassine Jeanne d’Arc. Régulièrement.

    De manière générale en reprenant les thèses économistes anglo saxonnes, alternant d’une querelle libérale à l’autre, leurs variations autour de l’euro ne sont que des soubresauts entre l’école autrichienne (dite autrichienne, en réalité anglo saxonne) et l’école de Chicago.

    L’esprit français ne souffle pas dans leurs thèses, sauf à ne révéler que leur incohérence car les contradictions ne manquent pas de se faire jour de façon immanente.

    Un dernier exemple en date a bien montré la permanence du logiciel étranger et ennemi chez le président d’honneur du Front national pour l’unité française (SIC dans ce contexte) :

    Le Front national, et JMLP le premier, sont immédiatement montés au créneau dans une affaire récente pour défendre le bijoutier qui a tué l'agresseur qui venait le cambrioler, arme au poing.

    La légitime-défense des biens par homicide volontaire est inconnue en droit français et dans sa matrice originelle romaine , depuis que nous avions passé un cap de civilisation, disons depuis la Loi des Douze Tables.

    Ce faisant, nous devenons pourfendeurs de la conception française qui est le fruit d’une longue histoire, notre histoire, qui, dans sa sagesse, nous avait fait devenir plus fins et donc plus sages, en exprimant une hiérarchie entre l’avoir et l’être.

    La logique libérale anglo américaine a engendré la Loi Stand your ground qui permet de tuer pour défendre son bien, entraînant abus et cascade de la violence.

    Le logiciel lepéniste est hélas gangréné par cette logique qui a donc tendance à ressurgir malencontreusement d'où les trop nombreuses incohérences qui en découlent, et la trahison donc, de l'esprit français.

    Le mouvement national français dans sa composante majoritaire, et ce d’autant plus que le Département d’Etat se charge depuis toujours des groupuscules plus ou moins satellites qui l’entourent, ne se mettra en ordre de bataille pour vaincre l’ennemi (le monde anglo saxon et sa politique mondialiste) que quand il se sera définitivement débarrassé de toutes ces scories qui ne sont pas siennes.

    Déjà un premier stade serait de le comprendre.

  • Robert Ménard ou, comment le Front National n'en finit jamais de se fourvoyer avec les maffias et la CIA.

    robert ménard,ong,cia,libéralisme,soft power,béziers,marine le pen,bidzina ivanichvili,femen,manif pour tous,printemps français,georges soros,ned,open society,heritage foundation,oss,multinaltionales,opus deiAvant de retrouver un "job" d'agent de l'information auprès du multimilliardaire et escroc atlantiste Bidzina Ivanichvili, ainsi que de mettre une OPA sur l'information en Russie avec ses partenaires du Club de l'Horloge américaine et autres libertariens tel que le petit activiste John Laughland, Robert Ménard avait déjà un passif lourd et du même acabit.
    On ne change pas des méthodes et d'un agent si près de ses maîtres et "mécènes".


    Evidemment, il était facile pour lui de gruger les équipes de Marine Le Pen dont le mouvement national est cerné de toute part par le soft power américain. A l'insu de son plein gré ?

    Et où l'on comprendra encore qu'entre l'affrontement artificiel, programmé FEMEN/ Manif Pour Tous-Printemps Français, l'on retrouve derrière, les mêmes financiers, les mêmes donneurs d'ordre, au service d'un unique but :  l'hégémonie du système libéral maintenant l'oligarchie industrialo financière au pouvoir.

    [En août 2011, Jean Robin -de l'Ecole de guerre économique, berceau libertarien- collabore avec Robert Ménard -l'ami de Serge Ayoub- pour l'animation de la matinale (7h-8h30) de Sud Radio dont la grille est établie par Denis " Florent" Cheyrouze (cofondateur de Boulevard Voltaire et que l'on retrouve également sur Chretiente.info) de l'Opus Dei ‪#‎Lemondeestpetit‬.]





    Bonne nouvelle pour : tous les allergiques aux manigances de la CIA, les contribuables français qui veulent savoir où passent leurs impôts, les journalistes, les reporters sur les champs de bataille, les amoureux de la-presse-libre-de-dire-la-vérité, les syndicats de journalistes, les consommateurs de médias et, globalement, tous les braves gens fatigués d’être enfumés par une fausse ONG qui lape dans les abreuvoirs de l’Oncle Sam.

    Dans la première semaine de septembre 2009, RSF a (enfin !) publié ses comptes 2008. Et les indicateurs sont au rouge.

    En effet, malgré le renfort financier de deux nouveaux sponsors US dont le pâle vernis laisse transparaître le sigle CIA, c’est le recul, voire la dégringolade.

    Seule la vente de tee-shirts anti-chinois a permis d’éviter un méchant déficit. Mais RSF peut-elle décemment réclamer une organisation annuelle des J.O. à Beijing ? Les Chinois accepteraient-ils d’offrir tous les ans à la meute chauffée à blanc par Robert Ménard une jeune handicapée protégeant la flamme olympique ? (1) Et cela, pour que RSF puisse continuer à financer ses luxueux locaux parisiens, pourvoir à son ruineux fonctionnement et au train de vie de ses cadres ?

    On peut en douter.

    D’où l’on conclura que les comptes 2008 de RSF amorcent ce qui n’est que le début d’une déconfiture due à ce que fut RSF de Robert Ménard. Compte tenu de ce qu’elle est (de terriblement ressemblant) avec son nouveau patron, Jean-François Julliard, la décrue ne pourra que se poursuivre.

    L’heure de payer l’addition est arrivée.

    Dans son livre « Des libertés et autres chinoiseries » (2008, Robert Laffont) Ménard se plaint : « Si vous tapez sur Google : « Robert Ménard + CIA », le site de recherche vous propose … 114 000 liens ». Vérification faite ce jour (toujours vérifier ce que dit Ménard, c’est la règle N° 1 du chasseur de mensonges), le chiffre est inférieur, mais très élevé cependant).

    Ce déferlement qui aurait dû alerter RSF avant d’atteindre un tel niveau ne saurait tarir. En effet, depuis ce constat, dans une folle fuite en avant visant à compenser les défections nationales, RSF est passée de quatre à six entreprises financées par des officines liées à la CIA, parfois en osmose fusionnelle puisqu’on a vu certains des dirigeants de ces paravents ajourés diriger directement la fameuse agence de renseignement états-unienne que personne ne peut qualifier de philanthropique.

    Quelques chiffres du budget de 2008.

    - Le total des recettes qui était, en 2007, de 5 842 326 euros, chute en 2008 à 4 874 443 euros, soit près d’un million de moins (967 883 euros exactement), soit moins 16,55 %.

    - L’engouement du public pour les calendriers et les trois albums de RSF a faibli. Les chiffres totaux des ventes tombent à 160 000 exemplaires contre 225 000 en 2007. Perte de recette : 24 %.

    - Les recettes publicitaires des albums ont chuté de 30%.

    - Le mécénat a diminué du fait de « l’absence de recettes non récurrentes » (sic). Du coup, les rentrées à ce poste-là sont passées de 20 % à 10%.

    - La part de nos impôts que RSF a reçue et qu’elle appelle « financements publics » (ministères et Office français pour la francophonie) a baissé d’un tiers en passant de 9% de son budget à 6 %.

    - Quant à la part de cotisations par ses maigres troupes adhérentes (moins de 1500), elle est si faible que RSF ne la fait pas apparaître dans ses bilans.

    Des locaux luxueux à payer.

    Or, RSF doit payer l’acquisition en 2007 de son superbe siège social à Paris, ce qui a impacté cette année son budget « à hauteur de 285 K€ » (285 000 euros, mais RSF écrit 285 K€, c’est mieux pour minimiser) avec prévision du même coût pour les années à venir.

    Par bonheur, « la vente de milliers de tee-shirts » et la redevance de la licence de RSF (?) sont venues abonder de 41% les recettes propres de RSF.

    Quoi qu’il en soit, si les gogos ont acheté des tee-shirts, les « décideurs » n’ont pas aimé cette agitation. En terme d’image de marque, cette campagne anti-chinoise a donc été coûteuse pour RSF et on ne fait que commencer à en voir les effets.

    L’un d’eux est que Robert Ménard a été démissionné, prié de l’annoncer un vendredi, de vider son bureau le lundi et de se tenir au large. Auparavant, et en quelques mois, il avait créé un schisme profond entre la France et la Chine (pour la plus grande joie de Bush qui se pavana près d’une semaine à Pékin pendant les J.O.), il avait dénoncé la « lâcheté » de l’UNESCO, regretté que cette organisation internationale se soit « déculottée », remarqué que le président du Comité international olympique (CIO), Jacques Rogge, est un « lâche et un salopard » et accusé Nicolas Sarkozy, pour qui il dit avoir voté, de participer à une « coalition de lâches » dans laquelle nul n’a remarqué qu’il incluait le locataire de la Maison Blanche d’alors, bourreau de l’Irak et de l’Afghanistan, chef des tortionnaires de Guantanamo.

    Sur ces mâles paroles, il a filé vendre sa force de travail humaniste au Qatar, une dictature où la presse n’a pas le droit de critiquer le monarque, ses femmes, sa famille, sa politique, les pratiques de la flagellation et de la torture, le quasi-esclavage des immigrés, etc.

    Là -bas, grassement payé de son propre aveu, il s’est trouvé à la tête d’un budget de 3, puis 4 millions de dollars pour faire fonctionner un prétendu Centre d’hébergement de journalistes exilés. Dans ce havre de liberté, qui resta d’ailleurs quasiment vide, il était interdit aux hommes et aux femmes de se rencontrer, ce qui obligea à créer en vérité deux lieux distincts.

    Le caractère autoritaire de Ménard (« dictatorial », dit Rony Brauman) et sa prétention à gérer seul l’argent offert par l’émir firent monter la tension. Le monarque qatarie prétendait qu’un de ses parents, membre du conseil d’administration du Centre ménardo-misogyne devait aussi regarder où passait l’argent. Echouant à devenir là -bas ce qu’il avait été à Paris, c’est-à -dire le seul maître à bord, Ménard s’est tardivement aperçu que le Qatar n’était pas une démocratie et que la presse était brimée.

    Il est alors parti en fustigeant les défauts liberticides de son ex-maître et en oubliant (et tous nos médias avec) les propos flatteurs qu’il tenait quelques mois auparavant sur le « seul pays arabe où l’on peut créer un tel Centre pour la liberté ».

    La presse courbée en a fait ses titres virils : « Robert Ménard claque la porte du Qatar ». Sur les raisons qui le poussèrent à aller offrir ses services à cette dictature liberticide où les journalistes ont intérêt à la fermer, nos médias eurent la discrète élégance de ne pas questionner le planétaire donneur de leçon. Ce qui laisse à la grande âme qui a caressé un moment l’espoir de devenir député européen sur une liste du MODEM (Bayrou, alerté par ses conseillers, l’a éconduit) du temps pour préparer le point de chute dont il rêve tous les matins en se rasant : la mairie de Béziers.

    Mais partout, le doute est né sur RSF et son co-fondateur.

    Qui finance ou aide encore RSF en France ?

    Qui finance ? Nous tous, que cela nous plaise ou non, par une partie de nos impôts et de l’argent que nous donnons à des entreprises privées en faisant nos achats. Le tout va renflouer RSF et ralentir son nécessaire déclin.

    On a vu que les sponsors privés de RSF deviennent plus pingres. Toujours adepte du camouflage, RSF écrit dans sa rubrique « Comptes 208 » : « Les entreprises qui ont aidé Reporters sans frontières en 2008 sont principalement ... ». Le « principalement » indique qu’elles ne sont pas toutes listées là où nous les cherchons. Tiens, pourquoi ?

    Les entreprises françaises dont le nom est présent dans le bilan comptable sont : la Fnac, Carrefour, Casino, Monoprix, Cora, les sites Internet alapage.com, fnac.com, amazon.fr, A2Presse et plus de 300 librairies qui continuent à proposer la camelote de l’épicerie compassionnelle à leurs clients.

    Un complément à la liste des entreprises et partenaires qui ne figurent pas dans la rubrique « Qui sommes-nous ? » sous rubrique « Comptes 2008 » est discrètement entreposé dans la rubrique « Agir avec nous », sous-rubrique « Etre partenaire ».

    Rubrique « Agir avec nous. Etre partenaire ».

    1. Entreprises qui aident à renflouer les caisse de RSF avec les albums de photographies : les NMPP, le SNDP, l’UNDP, Relay, la Maison de la presse, Mag Presse, Intermarché, Auchan, la Fnac, CFAO, France Loisirs, A2Presse, Métrobus, AAP, PROMAP, SEDDIF et Interforum Editis qui diffuse gracieusement les albums à la Fnac, chez Virgin, Cultura, Carrefour, Casino, Monoprix, Intermarché et Auchan, sur une quarantaine d’e-librairies dont Amazon.fr, Fnac.com, Chapitre.com et Cultura.com et « dans près de 600 librairies » (ce dernier chiffre s’envole d’une page à l’autre chez RSF : dans la rubrique « Comptes 2008 » elles étaient « plus de 300 ». ô Rigueur comptable !

    2. Entreprises partenaires des campagnes politiques de RSF : AFP, Air France, American Express, Arte, Baume & Mercier, Veronica Magazine, la Caisse des dépôts et consignations, Digit Access, Soleil Production, Oxford (Société Lecas), le Cabinet d’avocat Jean Martin, Datapresse, Leica Camera, Radio France, Sanyo, Solidaripresse.

    Et Saatchi & Saatchi, une agence basée aux USA. Elle compte 7 000 employés et 138 bureaux dans 82 pays. Elle travaille pour 60 des 100 plus importants annonceurs du monde. Jusqu’en octobre 2004 (forum du Nouvel-Observateur), RSF a prétendu que RSF payait ses prestations. Nous lisons aujourd’hui sur le site RSF : « Depuis 2002, Saatchi & Saatchi réalise gracieusement toutes les campagnes de communication de Reporters sans frontières »). ô, amour du vrai !

    3. Ville et festival : la ville de Bayeux, le festival Visa pour image.

    4. Fondations (sic) : la Fondation EDF Diversiterre, la Fondation Ford, National Endowment for Democracy, Open Society Institute, Sigrid Rausing Trust. 
    Ici RSF oublie le Center for a free Cuba et la Overbrook Foundation, cachés ailleurs.

    5. Partenaires qui distribuent nos impôts à RSF : le ministère français des Affaires étrangères, l’Organisation internationale de la Francophonie, le Premier ministre français.

    6. Autre : l’UNESCO, qu’on est surpris de voir là . On se rappelle en effet que les formes de la campagne anti-chinoise de RSF au printemps 2008 ont conduit l’UNESCO à une rupture spectaculaire avec RSF. Des sources diplomatiques de l’UNESCO avaient alors informé l’agence de presse Prensa Latina que « la décision avait été prise en raison des fautes réitérées d’éthique commises par RSF dans le seul but de discréditer un certain nombre de pays ».

    « Les agissements de RSF ne répondent ni aux critères ni aux objectifs de l’UNESCO et montrent une fois de plus qu’il ne poursuit que le sensationnalisme en voulant s’ériger en grand inquisiteur des nations en voie de développement, relèvent les médias consultés » ajoutait l’agence de presse avant de conclure : « Pour cette raison et d’autres antécédents, l’UNESCO a choisi de rompre ses relations avec RSF et de l’exclure de toute forme de coopération dans l’avenir ».

    Qui finance RSF de l’étranger ?

    Rubrique « Comptes 2008 ».

    « Les entreprises qui ont aidé Reporters sans frontières en 2008 sont principalement Sanofi Aventis et le CFAO, tandis que la liste des fondations privées contient le Center for a Free Cuba, la National Endowment for Democracy, le Sigrid Rausing Trust, la Overbrook Foundation ». Ici, ce sont l’Open Society Institute et la Fondation Ford qui ont été oubliés mais que nous avons remarqués plus haut, ce qui permet de faire un total.

    Sous le règne de Robert Ménard, c’étaient quatre sociétés écrans de la CIA qui mêlaient leur argent aux entreprises françaises. Sous le règne de son successeur, elles sont six. Le nouveau patron de RSF, J.F Julliard, fonctionne donc comme son ancien patron, mais en pire. Ce qu’on croyait impossible.

    Examinons les six mécènes qui camouflent (si mal !) la CIA.

    1 - Le Center for a free Cuba (CFC). Pendant des années, RSF a touché de l’argent du CFC sans le faire apparaître dans ses comptes. Motus et comptes cousus (de fil blanc). Le CFC a pour unique mission d’aider à la réalisation du vieux rêve du gouvernement états-unien et de la maffia cubano-états-unienne de Miami : renverser le gouvernement cubain, reprendre tous les biens qui étaient les leurs avant la révolution (en gros : l’essentiel des terres, usines, minerais, logements, hôtels, commerces, etc.).

    2 - La National Endowment for democracy (NED), omiprésente partout où l’on peut écarter du pouvoir ceux qui servent leur pays et non les intérêts de l’Empire. Au Venezuela, son budget a été multiplié par quatre à la veille du coup d’Etat d’avril 2002. Un rédacteur de ses statuts, un de ses vice-présidents, le New York Times, ont avoué que la NED était un paravent de la CIA (2). Plusieurs dirigeants de la CIA ont d’ailleurs siégé au CA de la NED.

    3 - L’Open Society Institute de George Soros, partenaire du célèbre Carlyle Group, nid de Républicains et d’anciens membres de la CIA, dont l’un, Frank Carlucci, en fut le sous-directeur. Soros a sauvé George W. Bush de la faillite quand ce dernier dirigeait une société de prospection pétrolière. On ne compte plus les pays où l’Open Society Institute est intervenu en Amérique latine et en Europe de l’Est, pour favoriser la mise en place des dirigeants pro-états-uniens.

    4 - Sigrid Rausing Trust (nouveau sponsor) : Société de lobbying. Dans son conseil d’administration, on remarque la journaliste Christine Ockrent, membre du conseil d’Administration de RSF et épouse de Bernard Kouchner qui est à l’origine de la honteuse décoration de Robert Ménard (Légion d’Honneur). Décoration dont Ménard avoue naïvement qu’elle ne lui fut pas accordée sans réticence : "... C’est Bernard Kouchner qui a proposé mon nom. Il a même dû insister me racontera-t-il." (« Des liberté et autres chinoiseries »).

    Sigrid Rausing Trust est associée au financement d’organismes comme International Crisis Group, une ONG fondée en 1994 par… George Soros.

    5 - L’overbrook Foundation : son fondateur, Frank Altschul travailla à Radio Free Europe pour la CIA avec William Donovan, fondateur de l’OSS, l’ancêtre de cette CIA dont un directeur fut William Casey, instigateur de la NED, ce sponsor de RSF et paravent de la CIA.

    6 - La Fondation Ford (nouveau sponsor). Raymond Aron, le philosophe ennemi intime de Jean-Paul Sartre, a écrit dans ses mémoires qu’il a découvert à la fin des années 60, que le « Congrès pour la liberté de la culture » qu’il animait, était financé par la CIA via la fondation Ford.

    Qui s’étonnera encore des milliers de liens Internet qui relient RSF à la CIA ?

    Où va l’argent ?

    A la rubrique « Consultation des comptes : comptes annuels au 31/12/2008 », le lien « Utilisation des fonds » renvoie à « Aide financière de Reporters sans frontières aux journalistes et médias en danger ».

    Et là , RSF enfume les citoyens de belle manière. L’épicerie de luxe se livre à une lourdingue diversion par une longue énumération des aides dont le détail, non chiffré, est destiné à masquer la maigreur.

    Pitoyable astuce ! Après avoir fait traîner la publication de ses comptes 2008 jusqu’en septembre 2009, l’organisation nous livre ses aides aux journalistes pour l’année 2008 ET pour 2009 (de janvier à mai). Au passage, notons que la date d’arrêt des comptes de RSF est ainsi indiquée (mai 2009). On se demande pourquoi ils n’ont été publiés qu’en septembre au lieu de juin, comme l’année précédente. Il semblerait que quatre mois ont été nécessaires pour les rendre présentables au public. Présentables étant ici synonyme d’opaques. C’est-à -dire, aussi globaux que possibles.

    En 2009 (janvier à mai). RSF a dépensé notre argent ainsi (pas de chiffres donnés par RSF pour cette énumération) : attributions de bourses à des journalistes, aide à la scolarisation d’enfants de journalistes, aide à un jeune blogueur, soutiens financiers, bourses d’assistances, accueil à Paris de journalistes, aide financière et administrative, prise en charge de frais d’avocat, achat de matériel informatique pour un journal, aide financière aux familles de journalistes en prison.

    En 2008, outre le même type de prestations (toujours non chiffrées), RSF a aidé des journalistes à obtenir des logements en France, financé un rapatriement, versé une allocation pour aider à l’enregistrement d’un concert commémoratif de l’assassinat de journalistes, aidé un journaliste à retrouver sa famille, contribué à la préparation d’une conférence au Maghreb, payé les frais d’hospitalisation à Damas d’une journaliste, contribué aux frais d’hospitalisation d’un journaliste à Dubaï.

    Camouflage et poudre aux yeux.

    Le gogo dira : c’est beaucoup. Le lecteur attentif rétorquera : attrape-nigaud, tour de passe-passe, mystification.

    Voici comment RSF cache que seules des miettes de son budget vont aux journalistes : 
    1- Le montant total des sommes versées aux journalistes en 2008 n’est pas divulgué (on va comprendre pourquoi).

    2- la longue énumération des aides 2008, gonflée par celle de 2009, masque une réalité : la plupart de ces aides ne dépassent pas quelques dizaines d’euros.

    3- Chaque fois que le montant dépasse 100 euros (et dans ces cas-là seulement) RSF donne fièrement le chiffre, pariant sur le phénomène dit « effet de halo » qui incitera le lecteur à déduire que les dépenses non chiffrées sont de la même hauteur que celles qui le sont.

    Voyons donc les quelques chiffres divulgués :

    Si l’on n’oublie pas que, en 2008, des organismes publics et privés ont alloué à RSF (ou aidé RSF à recueillir) presque cinq millions d’euros pour secourir des journalistes, on sera atterré par le faible montant des sommes qui sont reversées et par l’affligeante tentative d’en dissimuler le total.

    En 2009 (janvier à mai), Reporters sans frontières a octroyé une bourse de 500 euros, à un journaliste et poète azerbaïdjanais, 500 euros à un jeune blogueur égyptien, 400 euros à un journaliste iranien.

    Si l’on fait le total des sommes annoncées (les plus grosses, donc) on obtient 1400 euros.

    En 2008, 400 euros ont été versés à un journaliste iranien, 600 euros à un journaliste éthiopien, 1000 euros à une fondation, 1500 euros aux familles de journalistes géorgiens, 600 euros à une journaliste russe, 700 euros à un caricaturiste bangladeshi, 1000 euros à l’épouse d’un journaliste en prison au Niger, 600 euros à un journaliste colombien, 4000 euros aux journalistes et à leurs familles affectés par un cyclone en Birmanie, 2000 au Working Group on Press Freedom and Free Expression (WGFENA), organisateur d’une conférence, 1000 euros à un journaliste chinois, 1200 euros pour la parution d’un journal au Tchad.

    Le total affiché est de 14 600 euros.

    En pourcentage du budget de RSF, le montant total avoué des sommes reversées aux journalistes en 2008 stagne à moins de 0,3% du budget (1400 euros sur 4 874 443). Pour espérer faire grimper à 1% du budget de RSF le chiffre des sommes reversées aux journalistes, il faudrait y ajouter la cinquantaine de versements minimes dont le montant n’est pas révélé. Or, à regarder la nature des contributions ou aides dans des pays du tiers monde où les salaires mensuels dépassent rarement les quelques dizaines d’euros, on comprend le timide silence de RSF qui ne peut décemment pas écrire : « Nous avons versé 20 ou 50 euros à tel journaliste du tiers monde et il est bien content : avec ça, il vit un mois en famille, ou il paie son avocat, ou il scolarise son fils ou tout ça à la fois… ».

    Les braves gens qui croient aider les journalistes en finançant RSF ignorent que les frais de fonctionnement de cette boutique se montent à 33% de son budget (ils varient entre 5 et 10% pour d’autres ONG).

    En 2003, 93 % du budget de RSF étaient absorbés par les frais de fonctionnement, de propagande et les salaires, ne laissant que 7% pour accomplir la mission première : l’aide directe aux journalistes. Les restitutions ultérieures des comptes ne donnent plus ce « détail ». On imagine donc que le pourcentage versé aux journalistes a encore baissé. Les extrapolations ci-dessus accréditent cette hypothèse, sans pour autant la confirmer irréfutablement. Il appartient donc à RSF de la démentir, chiffres à l’appui, si elle le peut.

    L’obsession de l’argent.

    Cette répugnance à laisser sortir de l’argent hors du circuit de RSF va de pair avec l’obsession d’en faire entrer par tous les moyens.

    En quelques clics sur la première page du site de RSF vous saurez comment faire un don, vous abonner à leurs revues, acheter des albums, B.D., calendriers, sacs à appareils photos, Tee-shirts, comment verser une cotisation, leur offrir votre assurance-vie, faire une donation et même un « legs universel » par lequel vous donnez à RSF la totalité de vos biens, comme à une secte dont le gourou vous aurait subjugué.

    Gageons que quelques pauvres hères s’y laisseront prendre encore quelque temps. Mais en faisant connaître autour de nous cette face cachée de cette drôle d’ONG, nous pouvons sonner le glas de l’imposture.

    Maxime VIVAS

    PS. RSF est une « organisation reconnue d’utilité publique » qui reçoit à ce titre des subsides publics. En contrepartie, elle est tenue de fournir à qui les demande les informations sur, par exemple, le détail des sommes reçues des USA, le détail des sommes versées aux journalistes, le détail des frais de fonctionnement, la composition de son conseil d’administration, le coût de son siège, les salaires, etc. Le lecteur curieux pourra donc se renseigner par mail ou courrier.

    (1) Il m’est difficile, et vous me le pardonnerez, de ne pas citer chaque fois que possible, la croustillante anecdote suivante : dans les mêmes jours où RSF ameutait l’opinion sur la liberté d’expression en Chine, son responsable parisien du « bureau Asie » intervenait en vain auprès de la Sorbonne pour faire supprimer mon nom et toute référence à mon livre (« La face cachée de RSF ») qui figuraient dans une étude universitaire.
    (2) Pour plus de détails, voir mon livre « La face cachée de Reporters sans frontières. De la CIA aux Faucons du Pentagone » (Ed. Aden, 2007) où plusieurs pages documentées sont consacrés aux sponsors étrangers (et étranges) de RSF.

  • Bons baisers de France mister Friedman


    Jeanne-d-Arc-jeanne-envoie-aux-anglais-un-message-leur-enjoignant-de-sortir-de-france.jpgAlors que le site Contrepoints-de-vue du Département d’Etat américain fête l’anniversaire de la naissance du Chicago boy en chef, Milton Friedman, leur papier sur l’analyse de l’économiste, et donc idéologue, sur la question de l’euro est particulièrement éclairante de manière générale, et en particulier, eu égard aux positions du Front national en la matière.

    Le FN a vite fait de laisser tomber l’esprit d’un de ses principes qui garantissait au peuple la maîtrise de son destin, à savoir : Une Monnaie = Une Nation, au profit de la vision de ses « experts » si gracieusement fournis par de dits souverainistes.

    Ainsi Marine et JMLP ne font que s'inscrire dans une querelle économique de libéraux et donc se fondent parfaitement dans la normalité mondialiste entant que paradigme anglo américain.

    Malheureusement l'esprit français non suffisamment maîtrisé par ces deux chefs de file, fait que le logiciel étranger s'y insère si aisément.

    Le seul espoir est l'évidente incohérence que cela engendre, et le fait que la force de l'esprit français puisse les dépasser totalement.

    Je rappelle que notre filiation s'inscrit, du fait de notre histoire, dans le droit romain.

    Le droit romain a eu cette supériorité par rapport aux pays du nord, de s'inscrire dans le marbre. Les pays de tradition orale ont par essence moins d'assise.

    Notre histoire plus longue et plus arrimée à la réflexion permise par la transmission écrite de la langue et des sciences.

    Le miracle français est d’avoir parachevé notre héritage gréco romain en le pérennisant et l’améliorant par l’histoire qui ne garde dans sa sagesse que le meilleur et élimine le moins bon, c’est l’unité française qui en fut le vecteur et le catalyseur.

    Le droit anglo saxon est ainsi construit de façon très différente voire opposé au nôtre.

    Quand notre histoire du droit s’appuie sur une amélioration constante ayant pour base les solides apports antiques, apogée si bien senti par Renan dans sa Prière sur l’Acropole, le droit anglo saxon de tradition orale, ne prend assise que sur le Bill of rights (le XVII ème siècle ! Qui fut le départ du libéralisme chez les anglo saxons dont l’emprise gangrènera hélas la France, Jeanne d’Arc fut assassinée essentiellement à ce moment de l’histoire.

    Le Français recherche l’esprit des lois en le respectant en l’adaptant et l’améliorant par empirisme organisateur, l’Anglais recherche la lettre dans son passé moderne (oxymore volontaire) et forcément biaisé dans son adéquation avec le juste en particulier, le bien le beau le vrai en général.

    Jeanne avait combattu l’ennemi, non pas qu’il nous aurait tous anéantis physiquement, mais bien parce que nous aurions subi le joug de la domination de l'Anglais via la mentalité anglo saxonne.

    La France meurt de perdre son esprit et de rien d’autre, et la liberté s'éteint par ce même biais et au nom de la liberté (R) des nominalistes anglo saxons.

    C’est ainsi qu’un JMLP assassine Jeanne d’Arc. Régulièrement.

    De manière générale en reprenant les thèses économistes anglo saxonnes, alternant d’une querelle libérale à l’autre, leurs variations autour de l’euro ne sont que des soubresauts entre l’école autrichienne (dite autrichienne, en réalité anglo saxonne) et l’école de Chicago.

    L’esprit français ne souffle pas dans leurs thèses, sauf à ne révéler que leur incohérence car les contradictions ne manquent pas de se faire jour de façon immanente.

    Un dernier exemple en date a bien montré la permanence du logiciel étranger et ennemi chez le président d’honneur du Front national pour l’unité française (SIC dans ce contexte) :

    Le Front national, et JMLP le premier, sont immédiatement montés au créneau dans une affaire récente pour défendre le bijoutier qui a tué l'agresseur qui venait le cambrioler, arme au poing.

    La légitime-défense des biens par homicide volontaire est inconnue en droit français et dans sa matrice originelle romaine , depuis que nous avions passé un cap de civilisation, disons depuis la Loi des Douze Tables.

    Ce faisant, nous devenons pourfendeurs de la conception française qui est le fruit d’une longue histoire, notre histoire, qui, dans sa sagesse, nous avait fait devenir plus fins et donc plus sages, en exprimant une hiérarchie entre l’avoir et l’être.

    La logique libérale anglo américaine a engendré la Loi Stand your ground qui permet de tuer pour défendre son bien, entraînant abus et cascade de la violence.

    Le logiciel lepéniste est hélas gangréné par cette logique qui a donc tendance à ressurgir malencontreusement d'où les trop nombreuses incohérences qui en découlent, et la trahison donc, de l'esprit français.

    Le mouvement national français dans sa composante majoritaire, et ce d’autant plus que le Département d’Etat se charge depuis toujours des groupuscules plus ou moins satellites qui l’entourent, ne se mettra en ordre de bataille pour vaincre l’ennemi (le monde anglo saxon et sa politique mondialiste) que quand il se sera définitivement débarrassé de toutes ces scories qui ne sont pas siennes.

    Déjà un premier stade serait de le comprendre.

  • Aidons-nous et Dieu donnera la victoire !

    Nicolas-Sarkozy-signe-de-croix-Vatican.jpg Marine Le Pen nous l'a dit, en cette fête-anniversaire de Jeanne d’Arc, nous sommes libres de voter en conscience au second tour de l’élection présidentielle.

    Je me sens donc la haute responsabilité de sacrifier mon vote en mettant le bulletin Hollande dans l'urne, il en faut bien qui contrebalancent l'hérésie des autres, je rappelle que le pire reste le piège de l’ Union des Droites, projet mondialiste pour liquider les nationaux.


    Et ma foi, pour les chouineurs, faire élire Hollande grâce à nos voix et ensuite créer un mystérieux Comité Théodule qui exigera la démission de celui qui doit son élection aux voix du Front National.

    Nul besoin ainsi de faire repentance, on ne voterait pas pour lui, on lui ferait la peau -lui qui entend aussi nous brosser ces temps-ci dans le sens du poil-, nous serons ainsi responsables …mais pas coupables.


    Cela n’étonna pas vraiment, Bruno Gollnisch a expliqué dans un entretien accordé au quotidien Le Progrès qu’ « à titre personnel, (il) penche plutôt pour un vote Sarkozy que pour un vote Hollande » le 6 mai.


    De même, nous figurons tous - de façon totalement usurpée - dans les fichiers de Minute, nous avons donc ainsi pu recevoir concomitamment l’appel à voter Sarkozy tant d’un Larebière que d’un triolet de prêtres conseillant leurs zouaves dans ce qu’il faut bien appeler la minute des abbés, pour le « bien commun » il va sans dire, il existe tout de même des voix plus pénétrables que d’autres.
    Ceux-là mériteraient d’éprouver la surprise assez désagréable qu’on leur dise un jour du combat pour le rétablissement du catholicisme et de la royauté : « C'est pour demain ! ».

    En attendant je me charge de leur décocher un bon coup de pied de mule, après tout je descends bien directement d'un pape, on a le droit de s'inspirer du plus bel exemple de rancune ecclésiastique.



    Même son de cloche entendu par la laicarde Christine Tasin qui riposte au communautarisme mondialiste en appelant au vote … mondialo communautaire.

    Quand les lobbyistes du genre Catholiques en campagne, du même tonneau, font dans le subtil : « Nous n’avons pas reçu de réponse du candidat Hollande » …

    Chez les autres lobbies de l'extrême-droite liés ainsi à l'Heritage Foundation (CIA, sachant que d'autres réseaux de la CIA appellent évidemment à voter Hollande; je pense à l'Afev, Jeunesses Solidaires, Universités et territoires), font lourdement comprendre que Hollande est incompatible même si les intérêts de la boutique peuvent faire pour certains qu'ils appellent à voter blanc.
     Les zouaves de Frigides Bardot invités à voter enfin pour leur candidat naturel.
    Même chacals aux Mnr, Carl Lang, Rivarol mitigé mais qui compte le père de Guillaume Peltier qui appelle au vote Sarkozy, bref avec Larebière , les réseaux Buisson. Manque que Synthèse Nationale, dommage, c'est paraît-il parce Sarkozy est trop juif pour eux.

    Restaient encore les deux crypto mondialistes Collard et PMC, c'est fait (j'ai complété mon texte avec l'actualité).

    Mais le véritable mouvement national ne compte heureusement pas que cette fange d'extrême-droite dont il faudrait bien un jour se débarrasser vraiment pour être enfin à la hauteur de notre peuple, enfin à la hauteur de la France.

    Nous sommes un certain nombre à appeler à voter Hollande -dont nous savons pertinemment qui il est, faut-il le rappeler, et sûrement mieux que beaucoup de gens qui ignorent tout en réalité du mondialisme-, d'une part parce que nous savons qu'il remportera l'élection quoi qu'il arrive, d'autre part pour contrer cette extrême-droite, et encore, pour le temps que nous pensons gagner.


    En aucun cas de toute façon, il ne faut croire à l'implosion de l'Ump et ne la souhaiter même surtout pas.

    L'Ump est déjà une alliance hétéroclite issue d'une implosion, elle était déjà cela par essence, ce groupement d'intérêts électoral. De plus, l'alternance mondialiste était prévue, Copé est aux anges, il se positionne déjà pour 2017 où il jouera sur le fait que Sarkozy -l'Ump- avait "endigué la crise".
     
     Il ne faut souhaiter aucun transfert de la part de potentiels éléments de l'Ump qui "se reconnaîtraient davantage dans nos valeurs que dans celles de Sarkozy", ne pas vouloir de ces éternels gamellards, aveugles, velléitaires, ignorants, imposteurs, roublards, hâbleurs, commerciaux, j'en passe et des pires.

    Ils ne nous apporteraient que leur sale mentalité de lobbyiste et on voit aujourd'hui le retour de bâton :
    on a vu Collard le soir du premier tour sur le plateau de France 2, devant 20 millions de téléspectateurs, dire que nous étions "la droite moderne" (double fois envie de vomir). 
    Mais il semble que Collard ne soit plus nommé porte-parole pour les prochaines échéances ..., et il a récidivé sur le plateau d'I-Télé avec sa droate. Cela nous flingue à présent bien plus que le "détail".

    D'autant que même s'il est vrai que nous avons besoin d'ancrage, ne nous leurrons pas, si les candidats en question courent et s'entretuent pour l'étiquettes Ump, c'est bien que chacun sait qu'on peut présenter un chèvre sous une étiquette, et qu'en l'absence, l'ancré en question ne se retrouverait que dans la nasse. Et puis la rangaine d'Union des droites des souverainistes nous bassine, d'autant que nous savons pertinemment le piège derrière.

    Cela brouillera encore notre message auprès des électeurs qui en ont assez de tous les bidouillages.
     

     
    Ces attardés d’une guerre font qu’à présent, tout nationaliste (celui qui ne fait que mettre la Nation au centre de tout, notre Nation étant tant notre peuple que le cadre institutionnel national, inextricablement liée à notre terre, notre Patrie) qui entend les termes de "fausse droite", de « droite molle » ou de "droite nationale" dans la bouche de quelqu'un, sait qu’il a affaire à un vrai con, ou un con dur, au mieux, un idiot international, au pire.

    Il est certain qu'à la tarte à la crème : "Rassemblons-nous" -se croire obligé de s'allier à des boulets qui ont toujours prouvé tant leurs seules versatilité qu'inutilité-, j'eus préféré "Ressemblons-nous".

     

    Pour parodier les cathos crypto mondialistes, choisissons donc le candidat du moindre mal :


    quand Sarkozy accélèrera toujours plus la fuite en avant libérale, Hollande sera toujours freiné par la cour qu'il arrose (encore qu’en matière de Défense, il faut noter que l’appel à l’accélération de la libéralisation émane de la gauche qui, rappelons-le, a ouvert au marché bien plus de secteurs sous Jospin que sous tout autre), mais on note tout de même dans le domaine qui à mon sens reste le plus important, puisqu’il s’agit de celui de la transmission, davantage de résistance près des enseignants ralliés à Hollande tandis que les mêmes, tenants de Sarkozy, courent toujours plus rapidement que les premiers vers le non retour en sacrifiant l'Ecole française en lui coupant la tête quand Hollande l'ampute des jambes et des bras mais se heurte encore chez ses partisans à quelques pudeurs libérales, même s’ils ont clairement servi et serviront toujours d‘idiot utile à la mise en place des directives de l’Ocde et de l’Omc. On note par exemple des résistances de gauche au Livret de compétences alors même que, paradoxalement (mais tout paradoxe qui se respecte n'en est pas un), ce sont les réseaux de l'Afev (de gauche) qui sont à l'origine de sa mise en place en France, respectant ainsi les desiderata des grands groupes industrialo financiers.

    Et puis quelle galéjade que le puritanisme des chaisières quand le sarkozyste Richard Descoing introduit les Gender Studies façon suppo …


     Idem en matière judiciaire où l’on voit que les juges et législations rouges sont en train de faire le lit de la justice libérale, laissant libre champ au super lobby atlantiste, mondialiste (pléonasme) : l' Institut pour la Justice/Rassemblement pour la Justice 2012, monte ne puissance et se permet même de convoquer les politiques qui rappliquent le doigt sur la couture.



    Alors comme ce n'est pas dit, je le dis :

    Sarkozy, c'est Hollande, en pire !

    Les deux ne sont que des valets mondialistes (L’Umps vice-préside le Cercle de l‘Industrie en les personnes de Pierre Moscovici et d’Alain Lamassoure, allié à l'Institut de l'Entreprise, ces organisations regroupent tous ceux que l'oligarchie industrialo financière compte comme donneurs d'ordre. Il suffirait seulement de savoir que ce sont tant Terra Nova et la Fondation Jaurès, que Fondapol, l'Institut Montaigne et l'Institut Turgot, dont les "experts" sont interchangeables, qui nourrissent les politiques,  et qui ne sont aussi qu'à la bottes des mêmes puissances industrialo fiancières), mais Sarkozy n'a aucune tenue quand Hollande se sentira retenu, avec Sarkozy on va dans le mur à Vitesse grand V quand Hollande devra prendre son trantran. Sans compter qu'au pire, nous récupérerions un peu de proportionnelle ...

    Gagnons toujours un peu de temps, le temps, c'est de la France !

     

  • Saint-Nazaire, ville française !



    chantiers stx,saint-nazaire,france,marine le pen,présidentielles,législatives,jean-claude blanchard,ouvriers,paysans,ni droite ni gauche français
    A Saint-Nazaire, nous sommes tous avec Jean-Claude Blanchard, candidat de la France aux prochaines législatives.

    La chute de plus en plus vertigineuse des Chantiers navals et le sacrifice sur l’autel du globalisme des derniers pans industriels français que le Front avait lus dans la lie mondialiste, ne laissent que le choix de la France.

     

     

    Il n’est nul besoin d’expliquer aux nazairiens : 

     

    comment l’immigrationnisme -qui est un mondialisme- fait baisser les salaires et leur spolie leurs emplois

    nul besoin d’expliquer ce que signifie la flexibilité mondialiste

    nul besoin d’expliquer comment les politiques UMPS et les socio-traîtres qu’ils couvent, ont ruiné leur pouvoir d’achat, n’amenant qu’insécurité sociale en particulier et insécurité vitale en général

    nul besoin d’expliquer que les derniers artifices -promesses de contrats achétées contre accords inavouables avec des pays étrangers : saura-t-on un jour ce qui se cachait derrière le dernier contrat coulé avec la famille Kadhafi ?- n’étaient que prémices du feu qui allait s’en suivre quand toutes les mèches avaient été grillées (vente du savoir-faire, location d’ingénieurs jetables pour former les pays étrangers à bas coût à faire chez eux ce que l’histoire nous avait légué en héritage).

                      A Saint-Nazaire, beaucoup connaissent l’histoire de Michel le paludier, qui était des nôtres.

    Michel est un symbole.

    Michel travaillait aux Chantiers à la belle époque où sortait une immense vague d’hommes qui déferlait sur le port où les longues tablées des cantines ouvrières accueillaient et réconfortaient leur labeur.

    Michel a été licencié comme tant d’autres.

    Comme tant d’autres, il a tenté de s’en sortir, il a mis sa vitalité au service de la terre et de l’eau, travaillant une saline abandonnée.

    C’était compter sans l’acharnement des kolkhozes, exploitant une main-d’oeuvre idéologique esclave, qui s’efforçaient de tuer les indépendants.

    Les politiques venant porter le coup de grâce en augmentant d’un coup exorbitant les loyers des entrepôts servant à stocker le sel.

    Michel a mis fin à ses jours par un coup de fusil dans la tête et c’est son père qui est allé nettoyer sa chambre …

    Michel était un homme jeune, vaillant et admirable, nous avons vu souvent à nos BBR, sa vareuse couleur de voiles rouges burinées par l’air marin, il était un ouvrier-poète, amoureux de la langue, amoureux des livres, amoureux de la France.
    Il aimait accueillir sur sa saline, ses amis, les enfants, les étrangers, leur expliquer le vent, l’histoire des marais.

    En Michel, reconnaissons le martyr de ce que nous laisse espérer le système.

    Nous sommes beaucoup des Michel, et à Saint-Nazaire plus qu’ailleurs.

    Et ne nous demandez jamais si nous sommes de droite ou de gauche, nous sommes, comme dans l’Affiche rouge, amoureux de la France, à en mourir !


    http://www.dailymotion.com/video/xpivro_leo-ferre-l-affiche-rouge-piano-solo_music

  • Pourquoi je choisis Marine sans l'ombre d'une hésitation

    Militante frontiste sans interruption depuis mes années lycée il y a vingt cinq ans, et candidate à toutes les élections depuis qu’on m’a autorisée à l’être, je souhaite que l’héritière désignée par les adhérents, de JMLP, soit Marine Le Pen.
    Fière d’avoir été mise sur les rails politiques via le chemin que nous a tracé notre président, cela fait longtemps que je souhaite en secret que Marine reprenne le flambeau.

    L’entière confiance que je lui accorde s’est renforcée au cours des années durant lesquelles on l’a vue mettre ses compétences au service de notre cause avec un brio inégalé.

    Outre les affinités que je peux avoir naturellement avec elle, elle est jeune, femme, mère, combative, les raisons de mon choix sont toutes politiques.



    1) Les équipes

    Bruno Gollnisch souhaite mettre en place le rassemblement groupusculaire qu' il se targue de pouvoir initier.
    Je m’oppose formellement à une telle initiative.
    Rassembler le ban et l’arrière-garde de groupuscules qu’ils soient d’extrême-droite, de droite voire de gauche chevènementiste ou autres socialisme de droite, constituerait une hydre dont on ne sait par définition combien elle aurait de têtes, et dont, quoi qu’il arrive il ne serait fait qu’une bouchée.
    Il n’est pas secret pour quelques uns que, d’un tel attelage, beaucoup se verraient bien la mouche du coche.

    Faire des calculs d’apothicaire sur la possible victoire d’un tel harnachement relève du plus grand amateurisme, si chacun vaut + 1, l’effet répulsif vaut - 9 à chaque addition, je vous laisse augurer du résultat négatif.
    Outre le calcul perdant, quel message offrons-nous à notre électorat dont je rappelle qu’il ne consiste pas en un conglomérat de purs et durs, mais de français souvent d’origine modeste qui n’ont plus que nous pour seul espoir.
    Nous n’avons pas le droit de faire cela à notre peuple, nous devons être tout au contraire les responsables qui se donnent comme devoir de ne se mettre qu’à son seul service, parce qu’il est le peuple de France, et que la France est l’objet de notre unique ambition.
    Quel message brouillé cela donnerait-il quand au sein même du Front, nous n’avons eu de cesse de dire, à raison, que nous n’étions pas l’extrême-droite et que nous ne saurions nous confondre avec aucune raison politique somme toute assez mondialo compatible et dont les dirigeants ont toujours fait appel à ne pas voter pour le Front national quand ils ne présentaient pas des listes dans l’unique but de nous nuire.
    Devrions-nous prendre les bâtons qu’ils nous ont mis dans les roues pour nous faire battre ?

    Marine bien au contraire, appelle au rassemblement de tous les français quels qu’ils soient, le seul mot d’ordre s’appelle France, nous l’appellerons toujours France.

    2) Les priorités de chacun

    Bruno Gollnisch a fait ces dernières années de la Liberté d’expression un de ses chevaux de bataille.
    Il a raison, mais hélas, quelle est la prorité ?
    Que vaut la liberté d’expression sans la capacité de réflexion perdue dans nos écoles aux méthodes mondialistes?
    Et trop focaliser son attention sur ce sujet si préoccupant soit-il, est-il judicieux ?
    Que vaut-il dans l’urgence d' un monde qui s’écroule, quand nos compatriotes ne trouvent plus de travail ou si peu et si mal payé quand la vie devient toujours plus chère.
    Il en va pour certains de seulement pouvoir vivre, ils sont notre priorité des priorités, savoir et voir les plus faibles d’entre nous être sacrifiés sur l’autel du mondialisme, suscite la colère qui chauffe nos épées, qu’on touche à un seul Français dans sa dignité de pouvoir vivre de son travail et le Front monte au créneau.

    Le social, c’est le Front national, la démocratie, c’est le gouvernement pour et par le peuple qui l' exerce par ses représentants dans notre république française.
    Notre peuple est notre seul guide, il est le peuple de France, et la France est le merveilleux trésor que nous nous devons de protéger à son entier et unique service.

    C’est ainsi que Marine a su mettre en exergue la plus haute attention que nous devions porter sur la protection des services publics, ils sont notre bien commun dans notre lien commun qu’est la Nation.
    Tous les outils que nous a laissé notre histoire doivent être préservés quand l’intérêt de notre peuple nous le dicte.
    Je crains que l’entourage extérieur au Front mais favorable à Gollnisch n’encourage une vision «lobbyiste» de la politique.
    Et là encore Marine a su voire les risques, avec sa vision de la laïcité, elle forge une protection contre toutes formes de pressions quelles soient d’origines religieuses, sociétales, économiques, etc.

    4) La personnalité

    Oserions-nous dire que la providence ne joue pas un rôle dans nos cœurs ?
    Notre mythologie dont on sait qu’elle forme l’âme des nations, ne nous a-t-elle pas laissé croire en l’homme providentiel ? Et quand les temps vont mal, n’est-ce pas l’objet de tous nos espoirs ?

    Marine est jeune, mais à cet élan, elle ajoute celui d’une grande expérience à son arc.
    Elle sait ce qu’est la vie, elle a pris tous les coups, toutes les douleurs et Dieu sait que sa pudeur ne les avoue pas toutes.
    Bruno est intelligent, mais Marine y surajoute d’être brillante, elle voit juste, elle a ça dans le sang serions-nous tentés de dire.

    Enfin, Marine n’est-elle pas une évidence pour nous et au-delà.
    Elle est belle dans toute sa profondeur et cela se voit, mon dieu, comme dirait notre Pagnol de façon bienveillante, elle n’a pas la pâle figure d’un antialcoolique, et au pays du pinard et du saucisson, cela doit bien avoir sa petite importance.
    Au-delà de la note plaisante, Marine a la note si juste, elle a l’oreille politique absolue, laissons-lui dérouler la partition entant que chef d’orchestre, oui elle saura utiliser sa baguette de magicienne, et il le faut, c’est une nécessité, nous ne pouvons nous permettre un accord sans diapason.
    Chacun sa partition, chacun son instrument, mais nous jouons le même répertoire et Marine mène le combat, la danse sera celle des sabres, exaltante mais exigeante.
    Si l’aventure vous tente, sachez que ce sera la dernière chevauchée, il est impératif de vaincre, l’ennemi est clairement le mondialisme, pour la France et les nations qui ne sont-elles-mêmes, que le visage de notre humanité.